Le sommet du G20 reprenait ses travaux pour sa seconde et dernière journée vendredi avec au programme une série de sessions sur la régulation financière, les paradis fiscaux, les prix des matières premières ou la lutte contre la corruption. Revivez la journée de vendredi minute par minute avec Europe1.fr.
Le Premier ministre a obtenu la confiance des députés grec et s'est engagé à œuvrer "dès samedi" pour former un gouvernement de coalition avec d'autres partis afin de garantir une large validation du plan d'aide européen à la Grèce.
23h35 : Un nouveau gouvernement jusqu'en février ? Le ministre des Finances Evangelos Venizelos, pressenti pour succéder à Papandréou, livre sa vision du gouvernement : il durera jusqu'en février, devra ratifier l'accord de sauvetage européen et recapitaliser les banques grecques.
Le Premier ministre grec George Papandréou a demandé au Parlement un vote de confiance pour que le pays dispose d'un gouvernement capable d'agir et puisse engager immédiatement des pourparlers sur la formation d'un gouvernement de coalition à base élargie.
22h45 : Papandréou veut "tourner la page". "Nous voulons tourner la page et aller de l'avant. Je suis toujours allé de l'avant, en prenant des risques, mais toujours dans le meilleur intérêt du peuple", a déclaré le Premier ministre grec.
22h35 : "Des élections seraient catastrophiques" (Papandréou). Le Premier ministre grec s'est adressé au Parlement, estimant que "des élections seraient catastrophiques". Georges Papandréou a par ailleurs déclaré qu'il souhaite "ouvrir une nouvelle page" de l'histoire grecque.
Le Premier ministre George Papandréou s'est mis d'accord avec son ministre des Finances Evangelos Venizelos pour quitter le pouvoir et lui laisser le soin de former un gouvernement de coalition, a confié à Reuters une source proche de ce plan
22h : Des annonces, mais quels actes ? (Bel) "Il faut certes saluer les avancées, modestes, en matière de régulation des marchés financiers (...). Mais, là également, les annonces ne s'accompagnent d'aucune décision concrète", a réagi le socialiste Jean-Pierre Bel, président du Sénat.
21h30 : Sarkozy et Obama "méprisants" (NPA). "Avec son nouvel ami Obama, Sarkozy nous a fait une leçon de gouvernant méprisant envers les peuples qui payent très cher leur crise, en ce moment", a déclaré Philippe Poutou, candidat du NPA à la présidentielle.
20h10 : Wall Street finit en baisse. Les marchés étant marqués par la crise grecque, le Dow Jones a clotué en baisse de 0,49%, tout comme le Nasdaq (-0,46%).
20h28 : "Nous avons d'excellentes relations" (Obama). "Nous avons d'excellentes relations, (...) nous menons les mêmes combats", a déclaré le président américain Barack Obama, invité avec Nicolas Sarkozy des journaux de 20 heures de TF1 et France 2. "Nicolas a toujours été un partenaire ouvert, qui travaille beaucoup (...). Nous n'aurions pas pu réussir en Libye sans le leadership de Nicolas Sarkozy et de l'Otan", a-t-il ajouté.
20h21 : "Ne pas subir les évènements" (Sarkozy). "Ce que j'ai voulu faire avec Angela Merkel, c'est ne pas subir les évènements", a déclaré Nicolas Sarkozy, interrogé sur le leadership franco-allemand au sein de la zone euro. "L'Allemagne est la première économie d'Europe et la France la seconde. C'est normal qu'on prenne les choses en main"; a ajouté le président de la République.
"Cela fait bien longtemps qu'on n'avait pas eu une Amérique aussi attentive aux autres", a déclaré Nicolas Sarkozy, invité avec Barack Obama des journaux de 20 heures de TF1 et France 2.
"J’ai une confiance totale dans les dirigeants européens pour s’assurer qu’on résolve la crise financière et retrouve la prospérité", a déclaré le président américain Barack Obama, invité avec Nicolas Sarkozy des journaux de 20 heures de TF1 et France 2.
18h55 : Sur les marchés, "ca ne tourne pas très rond" (Lagarde). "La situation est complètement étonnante aujourd’hui : quand vous constatez que le risque italien ou espagnol, mesuré par les financiers, est à peu près du même niveau que le risque égyptien ou pakistanais… il y a quand même quelque chose qui ne tourne pas très rond", a déclaré Christine Lagarde, directrice générale du FMI, vendredi sur Europe 1.
18h45 : La Grèce a causé des "débats excessifs" (Lagarde). "Après les grands efforts déployés par les partenaires de la zone euro (…), soudain le Premier ministre grec prend une décision 'inannoncée', assez irrationnelle, puisqu’elle vient d’être retirée. Cela a entrainé une confusion et des débats excessifs", a déclaré Christine Lagarde, directrice générale du Fond Monétaire International (FMI), vendredi sur Europe 1.
18h22 : Les Bourses européennes en berne. Les marchés européens ont clôturé dans le rouge vendredi sur fond d'incertitudes tant sur le vote de confiance au gouvernement grec attendu dans la nuit que sur la capacité de l'Italie à sortir indemne de la crise de la dette européenne. Paris a ainsi lâché 2,25%, Francfort 2,72%, Londres 0,33%, Milan 2,66% et Madrid 1,33%. A New York, l'indice Dow Jones perdait 1,34% et le Nasdaq 1,07% peu avant 17h GMT. L'euro reculait face au billet vert, valant 1,3747 dollar.
Le Parlement grec a entamé vendredi après-midi le débat sur le vote de confiance au gouvernement. Ce vote avait été demandé lundi par le Premier ministre après qu'il eut annoncé un projet de referendum sur le plan européen de sauvetage du pays. Georges Papandreou a abandonné ce projet trois jours plus tard, au vu de la panique qu'il a suscitée à l'intérieur du pays et à l'étranger.
16h39 : La foule applaudit les deux présidents. Nicolas Sarkozy et Barack Obama vont au contact des badauds rassemblés pour suivre la cérémonie franco-américaine. Un bain de foule pour les deux présidents qui n'ont pas hésité à serrer des poignées de mains, sourire aux lèvres.
16h35 : Le problème de l'Italie, c'est le manque de crédibilité pour Lagarde. A l'issue du sommet du G20, la directrice du Fonds monétaire internationale Christine Lagarde a assuré que "le problème qui est en jeu et qui a été clairement identifié tant par les autorités italiennes que par leur partenaires est un manque de crédibilité des mesures qui ont été annoncées".
16h27 : "Merci Nicolas mon partenaire, mon ami". Barack Obama s'est adressé directement à Nicolas Sarkozy à l'issue du discours du président français. "Nous avons les mêmes convictions : recherche du bonheur, légalité, fraternité", a notamment assuré le président américain, après avoir largement remercié son "partenaire" et "ami" Nicolas Sarkozy. Et "longue vie à l'alliance avec nos deux pays", a conclu Barack Obama.
16h23 : "Les Etats-Unis, une nation soeur de la France". Le président français s'est exprimé le premier. Nicolas Sarkozy a parlé à son "ami" Barack Obama. Et il a affirmé que les Etats-Unis sont "une grande Nation, soeur de la France". "3000 soldats américains ont donné leur vie pour que revive la France, la France n'oubliera pas", a assuré le chef d'Etat français lors de son allocution. "L'amitié entre la France et l'Amérique est indéfectible", a-t-il ajouté.
16h20 : Une minute de silence. Les deux présidents américain et français ont assisté à la sonnerie aux morts, avant une minute de silence. Et ce, sous une pluie battante.
16h15 : Les hymnes célébrés. L'hymne américaine est jouée, avant l'hymne nationale française en présence de Nicolas Sarkozy et de Barack Obama.
Les deux présidents français et américain se retrouvent à Cannes à l'issue du G20 pour marquer le rapprochement entre les deux pays.
16h03 : Berlusconi confirme l'appel au FMI pour surveiller ses réformes. Le chef du gouvernement italien a confirmé vendredi avoir fait appel au Fonds monétaire international (FMI) pour "surveiller" et "certifier" la mise en oeuvre des mesures anti-crise de l'Italie. Mais au terme du sommet du G20 à Cannes, Silvio Berlusconi a refusé une offre d'aide financière du FMI, qui "n'est pas nécessaire".
Le président américain Barack Obama a dit croire vendredi que les dirigeants européens feront le nécessaire pour préserver la zone euro.
15h33 : La liste des 29 banques systémiques. Les régulateurs financiers, sous l'égide du Conseil de stabilité financière, ont identifié au total 29 banques comme étant des établissements systémiques, qui de par leur taille représentent un danger pour l'ensemble de l'économie en cas de faillite. Voici les banques inscrites sur la liste, qui sera revue chaque année : Bank of America, Bank of China, Bank of New York Mellon, Banque Populaire CdE, Barclays, BNP Paribas, Citigroup, Commerzbank, Credit Suisse, Deutsche Bank, Dexia, Goldman Sachs, Crédit Agricole, HSBC, ING Bank, JP Morgan Chase, Lloyds Banking Group, Mitsubishi UFJ FG, Mizuho FG, Morgan Stanley, Nordea, Royal Bank of Scotland, Santander, Société Générale, State Street, Sumitomo Mitsui FG, UBS, Unicredit Group et Wells Fargo.
15h27 : L'euro est "plus important" que la Grèce. Le Premier ministre néerlandais a estimé vendredi que l'euro est "plus important" que l'appartenance de la Grèce à la zone euro. "Nous pensons qu'il est très important d'éviter une faillite de la Grèce, dans l'intérêt de la zone euro", a déclaré Mark Rutte à l'issue du conseil des ministres hebdomadaire.
15h11 : 4 banques françaises classées systémiques. BNP Paribas, Société générale Crédit agricole et BPCE figurent sur la liste des grandes banques systémiques qui sera publiée vendredi par le Conseil de stabilité financière (CSF), a annoncé Nicolas Sarkozy, en clôturant le sommet du G20 à Cannes. Les 29 banques de la liste seront priées d'augmenter leur capital et de se soumettre à des règles plus contraignantes en raison du risque qu'elles font peser sur l'ensemble du système financier en raison de leur taille et de leur complexité.
Nicolas Sarkozy a assuré, en marge du sommet du G20 qu'"onze paradis fiscaux" sont épinglés dans le communiqué du G20. "Nous ne voulons plus de paradis fiscaux. Le message est très clair, les pays qui demeurent des paradis fiscaux seront mis au ban de la communauté internationale", a-t-il dit devant la presse. La Suisse et le Lichtenstein devront remédier pour leur part à certaines insuffisances, a par ailleurs ajouté le président français.
Nicolas Sarkozy a assuré vendredi, en conclusion du sommet du G20 à Cannes, que "l'Europe a tout mis en ouvre pour apporter une réponse crédible à la crise, les conditions d'un consensus en Grèce se créant et l'Italie acceptant une supervision du FMI et de la Commission européenne". Le président français a ajouté que les membres du G20 étaient "tous d'accord pour augmenter les ressources du FMI si besoin". Et de préciser qu'une décision sur les moyens de le faire serait prise en février.
14h08 : Les altermondialistes fustigent le G20. Le bilan du sommet du G20, qui se termine vendredi à Cannes, est "totalement négatif", a estimé Franck Gaye, l'un des porte-parole des organisateurs du contre-sommet altermondialiste de Nice, qui ont monté un bref happening en fin de matinée devant une succursale bancaire.
13h48 : Des ressources supplémentaires apportées au FMI. Le G20 va accepter d'apporter des ressources supplémentaires au Fonds monéraire international (FMI) face à la crise, "rapidement si nécessaire", a annoncé vendredi le président de l'Union européenne Herman Van Rompuy en marge du sommet.
13h27 : Pas d'extension du FESF. Quasiment aucun pays du G20 ne s'est pour l'instant engagé à participer à l'extension du Fonds européen de stabilité financière (FESF), a déclaré vendredi la chancelière allemande, Angela Merkel. Elle a ajouté que Deutsche Bank et Commerzbank figuraient parmi les banques à risque systémique, dont la liste sera publiée vendredi par le Conseil de stabilité financière.
Les organisations non gouvernementales (ONG) se sont dites vendredi déçues par le sommet du G20 de Cannes, l'accusant d'avoir laissé des "miettes" au déshérités de la planète pour voler au secours de la zone euro et de la Grèce.
13h16 : Vers des taux de change plus souples. Les pays du G20 sont convenus vendredi d'aller "plus rapidement" vers des taux de change plus flexibles dans le cadre d'un plan d'action global pour l'économie qui invite aussi ceux d'entre eux qui disposent d'importants excédents à réorienter leurs efforts vers la croissance interne.
13h07 : La taxe financière dans le texte final. Le communiqué du G20 va évoquer la taxe financière, mais il n'y a pas eu d'unanimité, a indiqué José Manuel Barroso. Le président de la Commission européenne a aussi précisé que Rome a demandé au FMI de surveiller ses mesures budgétaires.
12h50 : La Grande-Bretagne envisage une éventuelle disparition de l'euro. Elle "prépare des plans" dans l'hypothèse où la crise de la dette en Europe aboutit à la disparition de l'euro, a indiqué vendredi le ministre des Finances britannique, George Osborne.
La Grèce a abandonné son projet de référendum sur le plan de sauvetage financier du pays mis au point par l'Union européenne, annonce le ministre grec des Finances, Evangelos Venizelos. Il a aussi souligné que le gouvernement briguerait vendredi soir la confiance "pour obtenir le plus grand consensus possible" politique "avec la formation d'un gouvernement en ce sens".
12h10 : La Bourse de Paris reprend son souffle. Le CAC 40 était en petite hausse vendredi à la mi-journée, près une semaine agitée dans l'attente de précisions sur la situation politique en Grèce et l'avenir apparemment compromis du référendum annoncé, ainsi que les conclusions du sommet du G20. A 11h50, l'indice CAC 40 gagnait 0,41% à 3.208,42 points.
11h49 : La crise grecque génère de l'attentisme. La crise de la dette grecque "accentue l'attentisme des acteurs économiques" en Europe mais "la demande reste forte en Asie", estime le PDG d'Alstom, Patrick Kron.
11h43 : L'euro progresse face au dollar. L'euro restait en légère hausse face au dollar vendredi, dans un marché revigoré par la perspective de voir la Grèce enterrer son projet controversé de referendum sur le plan d'aide européen, mais toujours prudent, avant notamment les chiffres de l'emploi et du chômage américains. L'euro valait 1,3838 dollar à 11h10 contre 1,3808 dollar jeudi soir.
11h33 : Vers une augmentation de la production agricole. Les pays du G20 s'engagent à "augmenter durablement la production et la productivité agricole" et à renforcer, sur le principe, la transparence des marchés des matières premières agricoles, selon un projet de communiqué final du sommet de Cannes, qui se termine vendredi. "Pour nourrir une population mondiale qui devrait atteindre plus de 9 milliards de personnes d'ici à 2050, il est estimé qu'une augmentation de 70% de la production agricole sera nécessaire sur la même période", indique le document provisoire.
Le G20 s'engage à contrôler "en continu" les bonus distribués par les banques, en désignant les "lacunes" dans le respect des normes internationales, selon le projet de déclaration finale des principales puissances. Le texte devrait être publié au terme du sommet en début d'après-midi.
10h54 : La session de vendredi a débuté en retard. La première session de la journée a débuté avec du retard, indique le compte twitter officiel du G20, "en raison de rencontres bilatérales entre Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et Barack Obama".
10h33 : Bayrou déplore l'interview de Sarkozy et Obama. François Bayrou, président du MoDem, dénonce une "opération" de communication "insupportable" avec l'interview croisée de Nicolas Sarkozy et Barack Obama vendredi sur France 2 et TF1 et un "monopole" anormal dans la "pratique qui devrait être pluraliste des médias".
10h15. Hollande déplore un président plus "animateur" qu'"acteur". François Hollande, candidat socialiste à la présidentielle, a estimé vendredi que le président Nicolas Sarkozy était apparu comme un "animateur", jeudi au sommet du G20 à Cannes, sans avoir été "véritablement un acteur de la régulation financière".
Les membres du G20 s'accordent sur la nécessité pour les pays émergents en excédent de contribuer davantage à la croissance mondiale tout en insistant sur la nécessité pour le Fonds monétaire international de disposer des ressources suffisantes, selon le projet de communiqué final.
9h44 : Rome dément une "surveillance" du FMI. L'Italie n'a pas accepté une "surveillance" formelle par le Fonds monétaire international (FMI) du respect de ses engagements budgétaires mais est prête à demander des "conseils" à l'institution de Washington, a déclaré une source gouvernementale.
9h42 : La Bourse de Paris abandonne ses gains. La Bourse de Paris se montrait hésitante vendredi dans la matinée après avoir ouvert dans le vert. A 09h40, l'indice CAC 40 gagnait 0,14% ou 4,63 points, à 3.200,10 points, après être brièvement tombé dans le rouge.
9h30 : Pékin veut contrôler l'utilisation de son aide éventuelle. La Chine doit attendre que l'Europe propose un plan de sortie de la crise de la dette souveraine réalisable avant d'y contribuer, a déclaré vendredi un conseiller de la Banque Populaire de Chine (BPOC) tout en soulignant que Pékin devrait disposer de "certains contrôles" sur l'utilisation des fonds apportés.
9h07 : La Bourse de Paris ouvre en hausse. Le Cac 40 gagne 0.57% à 3.213.13 points, à l'ouverture, poursuivant son rebond alors que la perspective d'un référendum en Grèce semble s'éloigner
9h05 : "Papandreou ne pourra pas tenir longtemps", a déclaré sur Europe1 vendredi Rodi Krasta, députée européenne grecque. Selon elle, 'il règne "une atmosphère de fin de mandat en Grèce" pour le Premier ministre grec, avec "une fronde des députés et des ministres de son parti".
9h00 : "Ce G20 est raté, ce qui devait être un G20 pour remettre de l'ordre dans le monde n'est qu'un G20 tourné vers l'Europe et qui lui dit 'remettez de l'ordre chez vous'", a souligné vendredi sur France Info Michel Sapin, proche du candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle François Hollande.
8h45 : La Bourse de Tokyo donne un signe encourageant. Elle a terminé la séance de vendredi en nette hausse de 1,86%, portée par l'espoir d'un possible abandon du référendum grec sur le plan de sauvetage européen du pays. A la clôture, l'indice Nikkei 225 des valeurs vedettes a grimpé de 160,98 points à 8.801,40 points.
L'Italie a accepté que le Fonds monétaire international (FMI) surveille ses progrès en matière de réformes économiques et structurelles, a-t-on appris vendredi de source européenne. La Commission européenne et le FMI feront chacun un rapport sur la manière dont l'Italie remplit ses objectifs, notamment en matière de réforme des retraites et du travail, a précisé cette source.
8h02 : La Grèce menacée d'exclusion. La Grèce serait exclue de la zone euro mais aussi de l'Union européenne si elle n'acceptait pas le plan décidé par les pays européens le 27 octobre pour essayer de résoudre la crise de la dette, a mis en garde vendredi le ministre français des Affaires européennes, Jean Leonetti, vendredi sur Europe 1. "Ne pas accepter le plan, c'est sortir de l'euro, ne pas accepter le plan pour les Grecs, c'est sortir de l'Europe", a dit Jean Leonetti.