Nissan, touché au cours des derniers mois par un scandale lié à l'inspection de ses véhicules au Japon, a annoncé vendredi avoir découvert de nouveaux problèmes et va rappeler les voitures affectées, au nombre d'environ 150.000.
Une phase difficile. C'est une mauvaise nouvelle de plus pour le constructeur japonais qui traverse une phase difficile avec l'arrestation le 19 novembre de Carlos Ghosn, révoqué dans la foulée de la présidence du conseil d'administration, sur des soupçons de malversations financières.
Le bureau des procureurs de Tokyo a d'ailleurs décidé d'inculper Carlos Ghosn, soupçonné d'avoir dissimulé une partie de ses revenus, ainsi que le groupe Nissan en tant qu'entité morale, rapporte vendredi le quotidien économique Nikkei.