Quel que soit le résultat de l'élection législative, le problème Grec se posera toujours à l'Europe.
Dans l'hypothèse de la victoire du parti radical de gauche Syriza, son leader, Alexis Tsipras, a toujours parlé de rupture avec la politique d'austérité imposée à la Grèce. Pour autant, il ne pourra pas manœuvrer comme il le veut et à l'approche d'une possible victoire, le discours se fait plus modéré.
Autre hypothèse : la victoire de la coalition droite-gauche. Celle-ci n'est pensable que si le parti socialiste grec, le PASOK, récupère des voix qui le rendraient plus puissant au sein du gouvernement.
Une situation qui ne comporte que très peu d'issues favorables. Réponse le 25 janvier prochain.
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