ANTISÈCHE - Quelles sont les infos à ne pas rater aujourd'hui ? Chaque jour la rédaction d'Europe 1.fr vous propose sa sélection d'articles, d'interviews et de vidéos à revoir.
CRASH DE L’A320
La thèse d'un terrible acte suicidaire prend de l'épaisseur, trois jours après le crash meurtrier de l'A320 de Germanwings dans les Alpes-de-Haute-Provence. Le tabloïd allemand Bild a révélé vendredi le contenu du dossier médical d'Andreas Lubitz, le copilote qui semble avoir volontairement crashé l'appareil, causant la mort des 150 passagers et membres d'équipage. Le jeune homme de 28 ans était dans un état de dépression grave. D'autre part, la presse allemande évoque aussi une possible rupture amoureuse, qui serait survenue il y a quelques semaines.
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CRASH DE L’A320
Les familles des victimes du crash de l'A320 de la Germanwings sont sous le choc. L'enquête a révélé que le copilote allemand aurait volontairement provoqué l'accident qui a coûté la vie à 144 passagers et 6 membres d'équipage, mardi dans les Alpes françaises. Claude Driessens, le frère d'une des victimes, a confié sa douleur et son incompréhension au micro d'Europe 1. "C’est horrible, c’est terrible ce qui s’est passé là, il a entraîné avec lui des tas d’innocents", a soufflé le Belge, originaire de Liège.
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ÉLECTIONS DÉPARTEMENTALES
La logique du locataire de Matignon, Manuel Valls, est politique. Pour lui, la gauche a tenu ses positions dans cette élection. Elle a été battue car elle s'est présentée divisée comme jamais. Désormais, l'objectif est clair : c'est l'union de la gauche, devenue "obligatoire" selon le Premier ministre. Naturellement, cela nécessite un remaniement. Celui-ci aura lieu, assure-t-il, mais pas dans l'urgence. Manuel Valls souhaite même l'entrée au gouvernement des écologistes et des frondeurs du PS, tout en posant ses conditions. "Ce n'est pas à eux de choisir le Premier ministre", martèle-t-il. Comprenez : ils sont les bienvenus, mais au service d'une seule ligne, la sienne et celle du président.
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SANTÉ
La tension monte d'un cran entre médecins et gouvernement. En plus de la grève prévue le 31 mars contre le projet de loi Santé, le principal syndicat MG France a lancé jeudi un mot d'ordre tarifaire. Alors que la question de la rémunération fera partie des prochaines négociations entre médecins et Assurance maladie, il propose aux généralistes de faire payer 25 euros au lieu de 23 leur consultation dès vendredi et ce, pour une durée indéterminée. L'objectif ? Interpeller sur ce qu'il juge être une discrimination entre généralistes et médecins spécialistes qui font justement payer leurs prestations 25 euros. Une mesure qui pourrait pénaliser les patients et qui n'est pas légale.
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