ANTISÈCHE - Quelles sont les infos à ne pas rater aujourd'hui ? Chaque jour la rédaction d'Europe 1 vous propose sa sélection.
INTERNATIONAL
Il s'agit de la réplique la plus violente depuis le tremblement de terre du mois d'avril. Un séisme de magnitude 7,4 a secoué mardi le Népal. La secousse a été ressentie jusqu'à New Delhi, en Inde et des plus petites répliques continuent à frapper le pays. Le tout premier bilan, quelques minutes après la secousse, fait déjà état de plusieurs victimes.
>> Un nouveau séisme puissant frappe le Népal
JUSTICE
Un simple courrier. C’est par une lettre de la juge d’application des peines que cette mère de famille de 36 ans a appris la libération sous bracelet électronique de son violeur. "J’étais anéantie. Je n’ai pas compris cette décision de justice", témoigne-t-elle sur Europe 1. Deux semaines plus tard, son agresseur était effectivement de retour chez lui, à 150 mètres du domicile de sa victime. "Comment la justice peut-elle autoriser des choses comme cela ?", s’interroge Marilyne G. pour qui cette situation est "inadmissible".
>> Libéré sous bracelet, son violeur se réinstalle à 150 m de chez elle
VIOLENCE
Les scènes de violences policières contre les migrants alertent les associations depuis plusieurs mois. Cette fois c'est une vidéo filmée par des militants de Calais Migrant Solidarity qui en atteste. Sur les images, on voit des migrants délogés par des policiers, alors qu’ils se cachaient dans des camions stationnant sur la rocade portuaire, en vue de traverser la Manche. Sauf que les policiers se montrent particulièrement violents. Après avoir infligé de violents coups de pieds aux migrants, les CRS les projettent par-dessus la glissière de sécurité de la rocade du port de Calais, les aspergeant au passage de gaz lacrymogène. La scène, filmée le 5 mai, fait mardi la une du quotidien Nord Littoral
>> Calais : des migrants délogés à coups de pied par des CRS
ÉCONOMIE
Il a fini par céder. Henri Proglio annonce dans Le Monde qu'il renonce à la présidence de Thales. "J’en ai assez du soupçon, de l’humiliation. Il faut arrêter de me prendre pour un guignol, un espion, un goinfre, un traître", a vivement réagi l'ancien dirigeant d'EDF, accusant le gouvernement d'avoir mené une "campagne" contre lui.
>> Thales : Henri Proglio renonce à la présidence