Muriel Siron vous dévoile ce que les astres vous réservent.
Bonjour, aujourd’hui, vendredi 25 octobre…A quoi doit-on s’attendre du côté des étoiles ?
A un ciel lumineux pour vous les Cancers : La Lune éclaire votre ciel. Le Soleil est en signe ami. Mars vous donne de l’énergie. La chance vous poursuit…Osez l’impossible, ce sera possible.
Qui seront à la traine ?
Les Balances : Vous serez en petite forme. La Lune va vous perturber. Le weekend approche, si vous preniez de l’avance ? Partez avant l’heure, et faites le plein de douceur.
Les Béliers : Facilement contrariés, vous serez exigeants, et intolérants. Maitrisez vos excès, la tolérance restera votre meilleure alliée.
Les Taureaux : Vous irez bien. Votre courage sera remarqué. Alors relevez les manches. Poursuivez vos efforts…Vous atteindrez votre but.
Les Gémeaux : Vous rechercherez les situations ou lieux les plus insolites. Lâchez vos habitudes, et montrez vous plus conciliant, avec votre amoureux.
Les Lions : L’amour passion risque bien de vous envahir. Baissez d’un ton, et n’imposez plus votre loi. Vous serez plus sexys.
Les Vierges : Chez vous, ça ira bien. Vous ne vous économisez jamais. Vos amis pourront compter sur votre disponibilité, ne vous oubliez pas.
Du côté Scorpions : Le ciel sera dégagé. Pourtant, vous ne serez pas faciles à aborder, encore moins à convaincre. Vous serez gagnants.
Les Sagittaires : Et si vous alliez vous aérer l’esprit ce weekend ? En amoureux, ce serait encore mieux. Si vous êtes célibataire… Ouvrez l’œil ! Ca pourrait changer.
Les Capricornes : Vous serez convaincants, volontaires, décidés à relever tous les défis, en oubliant le mot « concession ». Mettez un peu d’eau dans votre vin.
Vous, les Verseaux : Attention, chez vous, il y aura de l’agressivité dans l’air. Oubliez toute discussion, la polémique serait néfaste. Essayez le lâcher prise.
Enfin, vous les Poissons : Vous irez bien, si vous ne cherchez pas la petite bête à votre partenaire ou à vos proches. La chance vous accompagne toujours.
DEVISE :
« Parler de ses peines, c’est déjà se consoler. »
Albert Camus