L'INTERVIEW POLITIQUE - "Je suis favorable aux soins obligatoires, pas forcément à la castration chimique", a expliqué vendredi sur Europe 1 André Vallini alors que le débat sur la récidive, notamment des criminels sexuels, est relancée. Mais "il faut savoir si les lois existantes ont vraiment tous les moyens pour être appliquées", a prévenu le député socialiste.
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