Avec quatre électeurs sur dix seulement qui se sont déplacés dimanche soir, ce second tour des élections municipales restera comme l'un des moins mobilisateurs de l'histoire de la cinquième République. Pour le politologue Nicolas Tenzer, si les élus seront tout de même légitimes, "il est difficile de tirer des leçons politiques globales" de ce scrutin.
Invité(s) : Nicolas Tenzer, politologue et professeur à Sciences Po