Chaque soir, Olivier Delacroix vous ouvre la Libre antenne. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Droit de réponse de l'association Rayon de soleil de l'enfant étranger :
"Lors de la diffusion d'une émission animée par Monsieur Olivier Delacroix sur Europe 1 'Libre antenne' le 5 juin 2023 et accessible sur le site internet europe1.fr depuis le 6 juin 2023 à 05h46, l'association Rayon de soleil de l'enfant étranger a été gravement mis en cause.
Monsieur Olivier Delacroix a en effet cru pouvoir affirmer que 'cette association a fait venir des enfants qui n'étaient pas adoptables sur le territoire français', ce que l'association réfute vigoureusement.
C'est également de manière calomnieuse qu'il a été indiqué que l'association aurait bénéficié en France mais également au Mali d''une complicité, une corruption, à ne pas douter du tout de cette corruption'.
Rayon de soleil de l'enfant étranger tient à répondre en précisant qu'elle réfute avoir commis la moindre infraction pénale et qu'elle dispose de toutes les preuves démontrant qu'aucune irrégularité n'a été commise dans le cadre des procédures d'adoption de ces enfants.
De surcroît, un contrôle judiciaire a été exercé en France puisque les adoptions plénières contestées sont intervenues aux termes de décisions de justice.
L'association Rayon de soleil de l'enfant étranger n'a perçu aucune somme de manière illégale. Il convient à cet égard de rappeler que dans le cadre d'une adoption internationale des frais d'adoption sont versés et qu'ils comprennent nécessairement des frais de fonctionnement de l'association qui sont vigoureusement prévus, encadrés et contrôlés par les autorités françaises.
Il en résulte qu'aucun 'business' n'a été mis en place au préjudice des adoptés contrairement à ce qui a été indiqué lors de l'émission par l'animateur.
Rayon de soleil pour l'enfant étranger tient à rappeler que ni sa responsabilité pénale, ni sa responsabilité civile n'ont été engagées à ce jour.
Les seules plaintes dont elle a eu connaissance ont été classées sans suite par décision du Parquet de Paris en date du 24 juin 2020 au motif que 'l'infraction ne paraît pas suffisamment constituée ou caractérisée, l'enquête n'ayant pas permis de rassembler des preuves suffisantes."