LE JOURNAL DE L'ÉCONOMIE - En mai dernier, General Motors avait décidé de vendre Opel à un consortium russo-canadien. Or, depuis, la situation s'est améliorée dans l'automobile. Ce qui pousse le groupe américain à se demander s'il peut avoir un avenir mondial en étant absent du marché européen sans Opel. Mais désormais, c'est Berlin qui pousse GM à se séparer de sa filiale...
Les chroniques des jours précédents