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L’ancien président de la République comparaît à partir de lundi dans l’affaire des écoutes, dite affaire Paul Bismuth, un pseudonyme qu’utilisait Nicolas Sarkozy pour échapper à la surveillance des enquêteurs. L’ex-chef de l’Etat devra se défendre d’accusation de corruption : il est d’avoir voulu obtenir des informations judiciaires contre un poste prestigieux.
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