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Lundi, le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a annoncé l'abandon de la méthode d'interpellation dite "de l'étranglement". "C'est la seule technique qui permet de maîtriser des individus qui sont dans un état très excités, alcoolisés, ou sous l'emprise de stupéfiants", déplore pourtant Thierry Launois, délégué national à la formation pour le syndicat UNSA-police.
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