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La volonté d'Ankara de mener des recherches de sources d'énergie dans la Méditerranée inquiète la Grèce, qui contrôle la zone disputée. Ce pays est soutenu par l'Union européenne et en particulier par la France. "La Turquie veut sa part des hydrocarbures alors qu'elle n'y a légalement pas droit", a expliqué Ariane Bonzon, journaliste et essayiste spécialiste de la Turquie, samedi sur Europe 1.
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