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Le propriétaire d'un camping à Canet-en-Roussillon dans les Pyrénées-Orientales a refusé les 40 millions d'euros que lui proposait un fonds de pension pour racheter son établissement de luxe. Sans héritier direct et inquiet pour le sort de ses salariés après sa mort, il a préféré créer une fondation pour œuvrer pour les enfants défavorisés et la préservation du littoral.
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