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Au lendemain de la gifle adressée à Emmanuel Macron dans la Drôme, son agresseur est toujours en garde à vue pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique. Il risque au minimum 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende, explique à Europe 1 la présidente de l'Union syndicale des magistrats.
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