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Dix ans après l'immolation de Mohamed Bouazizi, élément déclencheur des contestations populaires regroupées sous le nom de "printemps arabe", Europe 1 s'est penchée sur le cas de la Tunisie. Au-delà d'une liberté de parole retrouvée, la situation socio-économique du pays est loin d'être aussi bonne que les manifestants l'espéraient.
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