Face à Éric Zemmour qu’elle définit comme trop brutal, Marine Le Pen veut marquer sa différence. La candidate s’efforce de montrer qu’elle a changé pour rassembler. Mercredi encore, lors de ses vœux à la presse, elle confiait que sa ligne ne serait pas celle de la surenchère ni de la radicalité. Une stratégie choisie pour aller chercher les points qui lui manquent et espérer gagner au second tour, à condition de ne pas perdre sa base avant le premier.
Présidentielle : pourquoi Marine Le Pen joue la carte de l’apaisement
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