REDIFFUSION - Alors que rien ne va plus avec sa femme Melania, Donald Trump décide de se confier à Caroline Dublanche.
Ce matin, il y a du rififi sur l’oreiller à la Trump Tower !
Julie : Et la meilleure pour nous en parler, c’est la reine de la nuit d’Europe 1, Caroline Dublanche et sa libre antenne !
Caroline : Bonjour ! Ce matin, on parle des problèmes de couples ! Ces petits soucis du quotidien qui rendent la vie impossible, alors que pourtant vous vous aimez d’amour ! On prend tout de suite un 1er témoignage. Bonjour, quel est votre prénom ?
Donald : Donald !
Caroline : Votre profession, Donald ?
Donald : Je suis Président des Etats-Unis !
Caroline : Il y a un marteau-piqueur près de vous ?
Donald : Oui, c’est parce que je construis un mur de 3.000 kilomètres entre les États-Unis et le Mexique !
Caroline : Je ne saisis pas tout, mais j’écoute votre témoignage !
Donald : Je peux plus blairer my wife, du coup je dors à la Maison Blanche à Washington, et Melania elle dort toute seule à la Trump Tower à New York !
Caroline : Je signale à nos auditeurs que vous êtes très peu nombreux dans ce cas-là. Voire, il n’y a que vous ! Quelles sont les raisons qui vous poussent à faire couche séparée avec Melania ?
Donald : On s’engueule, parce qu’elle veut encore se faire tirer les pommettes, du coup ça empiète sur mon budget moumoute.
Caroline : C’est ce que je disais. On est limite sur un cas d’école. Avez-vous l’intention de la revoir dans les jours qui viennent ?
Donald : No. Parce que si jamais, elle venait me voir à Washington, je pourrais plus me taper mes assistantes à la Maison Blanche. Donc qu’elle reste à New-York, cette trainée !
Caroline : Je comprends. Ça se tient ! Et en même temps, vous parlez de votre femme avec tellement d’amour. On sent vraiment l’esthète, l’amoureux des arts, de la littérature.
Donald : Ta gueule.
Caroline : Non, c’est moi qui vous remercie d’avoir appelé Donald. Demain un tout autre sujet, "J’ai salarié mes filles pour 55.000 € de jobs d’été pour qu’elles apprennent la dureté de la vie", avec le témoignage de Bruno L. À demain !