La prochaine First Ladie fait déjà beaucoup parlé d'elle puisque c'est notamment la première à avoir posé nue dans l'histoire de la Maison-Blanche.
L’élection de Donald Trump a provoqué la nuit dernière une onde de choc ressentie dans le monde entier. Le personnage effraie par ses excès et certains ont du mal à se le représenter à la Maison-Blanche. Lui et son épouse Mélania, une first ladie hors normes qui fascine déjà les médias.
Au point qu’au beau milieu de la nuit, sitôt confirmée l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, des photos sont apparues sur la toile. Celles de cette créature exposant sa nudité allongée sur un plaid de fourrure. Melania, "the hotest first lady", la première dame la plus chaude de l’histoire et la première à l’évidence à avoir jamais posée nue. C’était en 2000, dans le magazine GQ, Trump le milliardaire se lançait en politique au parti de la réforme et la presse mettait sa petite amie à la Une, un mannequin éblouissant de 30 ans, Melania Knauss. On la voit menottée à une mallette de bijoux sur la couchette du Boeing de son homme, avec ce titre d’une grande finesse : sexe à 10.000 mètres d’altitude, Mélania a gagné ses airmiles. Et c’est donc cette femme qui installera, en janvier, sa plastique parfaite, à la Maison-Blanche.
Certains sont choqués et s’offusquent, d’autres observent déjà son goût vestimentaire. Des dizaines d’articles ce matin, commentent sa tenue le soir de la victoire : une combi-pantalon assymétrique, signée Ralph Lauren, blanche comme la pureté, note le Hollywood Reporter, avec une fente sulfureuse qui dévoilait sa jambe. Vous aurez retenu le mot important, sulfureux ? Les Trump à la Maison-Blanche, promettent de détrôner, en terme de feuilleton et d’histoires, la famille Obama.
Melania Trump était mannequin, elle fascine peut-être parce qu’on la connaît mal ?
Assez mal, c’est vrai. Elle vient d’un village de Slovénie, sont père vendait des pièces mais leur fille était belle. À 17 ans elle signe donc un contrat avec une agence et sa côte décolle. Des archives embarrassante, il en existe sans doute. Elle rencontre Donald Trump en 98, l’épouse en 2005, et n’obtient la nationalité américaine que l’année suivante. Elle sera donc seulement la deuxième Première dame née à l’étranger, une migrante qui a vécu le rêve américain, un comble pour celui qui a tant ciblé les étrangers pendant sa campagne. Melania parle cinq langues, elle veut se consacrer aux enfants et aux problèmes de harcèlement sur le web quand elle aura son bureau à la Maison-Blanche.