Depuis sa ferme pédagogique installée à Boisset en Haute-Loire, Fanny Agostini met à l'honneur l'alimentation, la santé et l'agriculture. Ce vendredi, elle s'intéresse au cas à l’école Victor Hugo à Poissy dans les Yvelines où de bien étranges micro-organismes sont venus s’inviter à la recréation pour améliorer la qualité de l’air sur le périmètre de jeu des enfants. Des algues ont une action de dépollution de l’air en séquestrant les particules mais aussi en absorbant le CO2 pour fournir aux petits de l’air plus oxygéné et plus pur.
innovation pratique qui se présente comme un grand pilonne et qui permet un gain de place énorme. Pour absorber une tonne de CO2 par an il faut Vous nous dites Fanny que l’avenir de notre climat pourrait dépendre des nuages?
Les nuages sont de grands régisseurs du climat dont ont parle peu, trop peu. On devrait pourtant donner un coup de collier à la recherche sur les nuages et leurs impacts si l’on part du principe que dans un climat plus chaud vers lequel nous allons, il y aura plus d’évaporation et de condensation et donc à priori plus de cumulification comme le dise les météorologues, c à dire plus de nuages. Ce qu’il faut comprendre c’est que leur multiplication peut avoir un impact décisif sur la monter ou sur la baisse du thermostat dans les années à venir. Et sur ce sujet, on a de gros doute…C’est même l’un des principaux point d’interrogation des scientifiques, le point nodal, celui qui agace, qui dérange, qui leur fait s’arracher les cheveux et même s’écharper entre eux tellement il n’y a pas de consensus.
Quel rôle aurait les nuages dans la baisse ou la montée des températures à venir?
Les nuages en fonction de leurs caractéristiques vont soit venir réchauffer soit refroidir le climat.Les nuages bas, du type stratus eux vont bloquer le rayonnement infra rouge c’est à dire que la chaleur emmagasiner sur terre ne va pas pouvoir être renvoyée vers l’espace car bloquée par ce type de nuages, on parle alors d’effet couvercle, le fameux effet de serre, dans ce cas là le climat se rechauffe. Alors qu’au contraire, les nuages d’altitude eux ont un effet que l’on peut qualifier d’effet parasol, ils vont agir comme un voile occultant entre nous et le soleil..et donc nous faire ombrage en amoindrissant le rayonnement qui arrive sur Terre ce qui pourrait en fait venir tout réparer et nous garantir un climat appréciable, en tout cas viable pour les années à venir!
Cela voudrait dire que nous pourrions faire le pari que le climat s’autorégulera tout seul à l’avenir grâce à ces nuages parasols? Dans ce cas, pas besoin de se prendre la tête à vouloir ralentir sur les énergies fossiles ?
Le soucis c’est qu’à ce jour on est pas capable de modéliser le climat si finement pour les années à venir et les scientifiques peinnent à entrevoir quel type de nuages va dominer au dessus de nos têtes dans un futur proche, avec soit un phénomène d’atténuation, soit au contraire avec les nuages bas, une retenue de la chaleur et donc une accélération du processus de réchauffement qui nous compliquerait bien la vie.
On ne pas pas jouer à cette roulette russe, le risque est trop grand de parier sur une éventuelle auto-régulation climatique.
Quoiqu’il en soit l’arrêt des énergies fossiles reste une priorité majeure ne serait ce que pour des raison de qualité de l’air et donc de santé publique Vous nous dites Fanny que l’avenir de notre climat pourrait dépendre des nuages?
Les nuages sont de grands régisseurs du climat dont ont parle peu, trop peu. On devrait pourtant donner un coup de collier à la recherche sur les nuages et leurs impacts si l’on part du principe que dans un climat plus chaud vers lequel nous allons, il y aura plus d’évaporation et de condensation et donc à priori plus de cumulification comme le dise les météorologues, c à dire plus de nuages. Ce qu’il faut comprendre c’est que leur multiplication peut avoir un impact décisif sur la monter ou sur la baisse du thermostat dans les années à venir. Et sur ce sujet, on a de gros doute…C’est même l’un des principaux point d’interrogation des scientifiques, le point nodal, celui qui agace, qui dérange, qui leur fait s’arracher les cheveux et même s’écharper entre eux tellement il n’y a pas de consensus.
Quel rôle aurait les nuages dans la baisse ou la montée des températures à venir?
Les nuages en fonction de leurs caractéristiques vont soit venir réchauffer soit refroidir le climat.Les nuages bas, du type stratus eux vont bloquer le rayonnement infra rouge c’est à dire que la chaleur emmagasiner sur terre ne va pas pouvoir être renvoyée vers l’espace car bloquée par ce type de nuages, on parle alors d’effet couvercle, le fameux effet de serre, dans ce cas là le climat se rechauffe. Alors qu’au contraire, les nuages d’altitude eux ont un effet que l’on peut qualifier d’effet parasol, ils vont agir comme un voile occultant entre nous et le soleil..et donc nous faire ombrage en amoindrissant le rayonnement qui arrive sur Terre ce qui pourrait en fait venir tout réparer et nous garantir un climat appréciable, en tout cas viable pour les années à venir!
Cela voudrait dire que nous pourrions faire le pari que le climat s’autorégulera tout seul à l’avenir grâce à ces nuages parasols? Dans ce cas, pas besoin de se prendre la tête à vouloir ralentir sur les énergies fossiles ?
Le soucis c’est qu’à ce jour on est pas capable de modéliser le climat si finement pour les années à venir et les scientifiques peinnent à entrevoir quel type de nuages va dominer au dessus de nos têtes dans un futur proche, avec soit un phénomène d’atténuation, soit au contraire avec les nuages bas, une retenue de la chaleur et donc une accélération du processus de réchauffement qui nous compliquerait bien la vie.
On ne pas pas jouer à cette roulette russe, le risque est trop grand de parier sur une éventuelle auto-régulation climatique.
Quoiqu’il en soit l’arrêt des énergies fossiles reste une priorité majeure ne serait ce que pour des raison de qualité de l’air et donc de santé publique et 100 arbres ! Les micro-algues elle, font le même travail sur un mètre carré seulement-alors au lieu de transformer les cours d’écoles en forêts, des chercheurs ont pensé à cette solution plus compactée.