Transportée aux urgences de l’hôpital de Strasbourg pour un malaise, Angèle Lieby commence à avoir des difficultés à s’exprimer, puis perd connaissance. On la plonge dans un coma artificiel pour l’intuber. Le 4ème jour, elle ne se réveille pas. Or, Angèle est consciente et souffre sans pouvoir réagir. Pour le personnel médical, elle est très vite considérée comme morte…
Invitée :
- Angèle Lieby, auteure de Une larme m’a sauvée, Éditions les arènes