En 1954, Jacques Fesch tue un policier au cours d’un braquage à Paris. Arrêté et incarcéré, il entame un chemin « spirituel » et se convertit. Il est condamné à mort puis exécuté. L’église catholique, veut aujourd’hui en faire un « saint ». Le mérite t-il ?
Invité : Gilbert Collard, auteur de « Assasaint : Jacques Fesch, l'histoire du bon larron moderne » (Editions Presses de la Renaissance)