Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", Laurent Barat salue le livre de Michel Field, "Paris émois". Il explique que ce dernier lui a permis d'apprécier Paris à sa juste valeur. Il a aussi compris pourquoi il n'aimait pas trop la ville jusqu'ici : il s'est fait larguer dans presque tous les arrondissements.
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