Tous les jours de la semaine, Ombline Roche, Dimitri Vernet et Alexandre Le Mer décryptent trois articles de la presse du jour.
437 jours nous séparent de l'évènement tant attendu en France : Les Jeux Olympiques.
Le coup d'envoi approche et les fans de sports trépignent d'impatience. Ils espèrent décrocher leurs billets pour aller voir des épreuves afin de brandir le drapeau français en tribune.
Un rêve qui s'est transformé en véritable désillusion pour beaucoup, c’est ce que nous nous le magazine le Point.
En février, tout d'abord, à l'ouverture de la billetterie des JO, beaucoup ont dénoncé des tarifs indécents, bien trop élevés pour des épreuves sans véritable enjeu.
Certains ont donc décidé d'attendre la deuxième phase pour acheter les billets dit à l'unité. Avec cette fois ci les plus grosses épreuves et la fameuse cérémonie d'ouverture.
Mais seulement cinq jours après l'ouverture de cette deuxième phase, beaucoup de français tirés au sort sont dépités.
Il n'y a déjà quasiment plus rien ou presque et il ne reste plus que des billets hors de prix !
2.700 euros minium, pour assister à la cérémonie d'ouverture. Plus de 900 euros pour les finales d'athlétisme ou encore de natation.
On parle bien là de ticket unique, c’est tout simplement hors de prix pour beaucoup de familles en France qui ont décidé de ne rien prendre.
"Les jeux du peuple, disaient-ils », ironise un internaute sur Twitter. « C’est accessible à qui, à ce prix-là ? », se questionne un autre.
Pas de panique non plus ! Pour ceux qui veulent encore obtenir des tickets.
Dans les faits, il reste des tickets à 24 euros pour des épreuves de football ou de voile.
Vous pouvez également attendre l'ouverture de troisième phase de vente sans inscription qui sera organisée en fin d'année.
Et surtout n'oubliez pas que la cérémonie d'ouverture sera ouverte gratuitement à 500.000 personnes. Il faudra juste vous inscrire dans quelques mois pour y accéder.
« JO de Paris 2024 : engouement et déception pour la deuxième phase de vente de billets », c'est un article a retrouver dans le magazine Le Point ce matin.