La coutume de la trêve olympique, le prix de l'essence sur les autoroutes et le flair d'un chien ne dépend pas de sa race

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Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.

Christophe Lamarre remplace Alexandre Le Mer ce mercredi 8 mai 2024.

 

Pressing Christophe Lamarre

Un article du Figaro intéressant ce mercredi matin, la race n’a rien à voir avec le flair.

Les chiens de chasse ont des caractéristiques bien particulières pourtant, sans parler des chiens anti-drogue ou spécialisés dans la recherche en milieux périlleux. Leur flair ne serait pas lié à leur origine.

Cela n’empêche pas d’avoir un vrai odorat. Cette étude publiée ce matin dans Le Figaro nous apprend qu’il y a des races réputées, comme les chiens fin limiers comme le St Hubert par exemple avec sa taille imposante, ses oreilles longues et tombantes et son regard triste. La joie de vivre incarnée mais une truffe qui est un véritable radar olfactif. Tout comme le petit Beagle, chien préféré des chasseurs. Leur odorat a fait leur réputation mais il n’est peut-être pas plus développé qu’un chihuahua.

Un chihuahua de chasse ou spécialiste de l’anti-stup, il faut avoir beaucoup d’imagination.

Une équipe internationale de chercheurs a analysé le génome de 111 chiens issus d’une trentaine de races différentes. Résultat, aucune différence entre les races de chiens classiques et celles réputées pour leur flair. La morphologie ne joue pas non plus. Parmi les hypothèses envisagées, l’acclimatation à l’environnement. En étant domestiqué, le chien a perdu de son odorat. Tout le contraire du loup et du coyote, restés à l’état sauvage. À force d’essayer de comprendre notre langage, voilà que notre chien aurait fini par en perdre sa truffe.

Pressing Ombline Roche

Commence aujourd’hui le long pont du 8 mai combiné à l’ascension ! des mini vacances !

Vous êtes donc nombreux à prendre la route ce matin à bord de votre voiture familiale, de votre fidèle routière, de votre camion, pourquoi pas… direction le sud pour aller chercher le soleil du mois de mai. Attention à la facture franchement salée une fois que vous aurez fait le plein sur l’autoroute.

Le Parisien/Aujourd’hui en France fait le point sur les stations-services les plus chères de France. Autant vous dire que pour bon nombre d’entre elles, le plafond symbolique de 2 euros explose. Il faut compter en moyenne, pour un litre d’essence, 15 centimes d’euros de plus que sur le réseau national et départemental. En gros, pour un plein de 60 litres d’essence 95, vous allez payer 8 euros 40 de plus… 9 euros 60 si vous roulez au diesel.

Où se trouvent les stations qui affichent les prix les plus élevés ?

Dans le Rhône ! nous dit Le Parisien/Aujourd’hui en France, du côté de Saint Priest sur l’A43… deux stations BP. L’essence 95 est à 2 euros 40 le litre, le gazole à 2 euros 32. A se demander s’il n’y a pas de l’or à l’intérieur…

On connaît les raisons de cet envol des prix sur les autoroutes ?

Elles sont multiples. Mais le président national de la branche distributeurs carburants du syndicat Mobilians explique que les stations d’autoroutes font face à des frais plus élevés. Elles sont ouvertes 24h sur 24 avec au moins un salarié sur place et elles doivent s’acquitter d’une redevance spécifique.

Les seules stations-services dont les prix plafonnent à 1 euros 99 appartiennent à TotalEnergies.

Le conseil donné par Mobilians : éviter les autoroutes. Essence moins chère, pas de péages et vous roulerez moins vite !

Les prix délirants de l’essence sur les autoroutes ce matin dans Le Parisien/Aujourd’hui en France

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