Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Dans Aujourd’hui en France, on découvre le futur version Elon Musk : c’est “l’homme augmenté”.
La start-up d’Elon Musk, Neuralink, annonce avoir posé un implant sur un patient.
Un implant cérébral c’est une puce électronique. Ce patient volontaire de Neuralink se retrouve avec ce minuscule composant à l’intérieur de son crâne, une puce connectée qui doit vous permettre de commander des machines simplement par la pensée.
Comment ça fonctionne ?
Toute la question c’était de savoir comment relier l’homme à la machine, pour passer de la science fiction à la réalité. Le principe, c’est une série d’électrodes branchées sur votre cortex. Grâce à un robot chirurgical, l’activité de vos neurones est ensuite interprétée par un ordinateur qui peut transformer le signal en actions.
Vous imaginez les applications… Ça veut dire qu’on pourrait faire remarcher des patients paralysés, rendre la vue aux aveugles... L’ambition serait même de guérir des maladies psychiatriques comme la dépression.
Le côté un peu plus cauchemardesque, il est dans le discours d’Elon Musk, qui est de dire que l’IA va vite nous dépasser et que notre seule chance, c’est de nous “hybrider” aux machines.
Le 14 février c'est la Saint Valentin. Et ça fait les affaires des applications de rencontres !
Selon le quotidien gratuit 20 minutes, le dating surchauffe en hiver ! Ca swipe à un train d’enfer, des photos de profils de potentiels prétendants et prétendantes qu’on fait glisser à droite ou à gauche sur l’écran du téléphone, selon les envies. À droite c’est oui, à gauche c’est non.
Quel est le jour de l’année où il y a le plus d’affluence sur les applis de rencontre ?
Le premier dimanche de l’année… D’une manière générale, les pics d’affluence sont au moment du blues du dimanche soir, écrit 20 minutes… et aussi de plus en plus au moment du blues du lundi soir ! Mélanie, 32 ans, célibataire, témoigne : « rentrer du boulot dans un appartement vide, ça me déprime ». Alors Mélanie swipe, le pouce vengeur, sur l’écran de son smartphone. Et Mélanie est du genre « swipe massif »… elle voit beaucoup de gens. Mais en multipliant les rendez-vous galants, on se montre moins exigeant.
Pour d’autres, c’est la technique inverse !
Voilà, la qualité plutôt que la quantité mais avec le risque cette fois de s’impliquer beaucoup trop pendant la phase virtuelle et être déçu au moment de la rencontre.
Réchauffons-nous les uns les autres pendant l’hiver, pour le meilleur et pour le pire. Un article de 20 minutes.