Le psychiatre doit répondre à une question essentielle qui déterminera l’avenir judiciaire du mis en cause : "son discernement a-t-il été altéré ou aboli au moment des faits ?". Pour l’évaluer, l’expert va recherche l’existence d’une maladie mentale telle que la schizophrénie, la psychose paranoïaque ou encore le délire chronique. Puis, il va se demander si cette pathologie s’est manifestée au moment des faits lors d’une bouffée délirante.
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