Elles ont aimé
Caroline Galmiche, 50 ans, mère au foyer, Chauray
« Park Avenue se lit comme un thriller. Difficile de lâcher ce livre tant la face cachée de la crise new-yorkaise vue par les financiers eux-mêmes est accrocheuse. On vit la crise financière de l'intérieur, au sein d'une riche famille où chacun doit faire des choix, souvent plus dictés par des intérêts que sentimentaux. L'auteur connait évidemment très bien son sujet. Je ne mets pas la note maximale à cause du très grand nombre de personnages. Il est en effet peu aisé de se repérer au début, mais quand les protagonistes nous deviennent familiers, ce roman est palpitant. »
Mélanie Petitteville, 28 ans, assistante maternelle, Le Havre
« Une histoire sur le monde de la finance ne m'attirait guère mais j'ai été agréablement surprise de la facilité avec laquelle j'ai lu Park Avenue. Les personnages sont attachants, intrigants, l'intrigue plonge le lecteur dans le scandale et le lecteur aime ça! Une vraie découverte que je recommande vivement ! »
Ils sont mitigés
Paul Marchès, 57 ans, agent commercial, Lyon
« (…) Mensonges, trahisons, double-jeu, abandon, secrets nous conduisent au coup de théâtre final relativement ambigu, car on y voit bien sûr le triomphe de l’amour mais oh surprise également celui de la duperie et de l’imposture. Agréable à lire, le récit pêche parfois par le manque de profondeur psychologique accordé à certains protagonistes. Mais on prend plaisir à découvrir cette intrigue sans temps mort, instructive et agréable, cela se limite à cela, ce qui n’est déjà pas si mal. »
Denis Perrot, 40 ans, ingénieur, Mettray
« Les 170 premières pages mettent en scène de façon efficace les protagonistes sans trop les caricaturer. »
Ils n'ont pas aimé
Sandrine Conquer, 40 ans, psychologue, Toulouse
« Roman qui raconte la crise de l'intérieur mais qui laisse froid. J'ai éprouvé de la difficulté à terminer la lecture de ce livre car à aucun moment je n'ai pu ressentir de compassion, d'empathie sur ce monde, cette bulle dorée. Le style aurait pu être plus corrosif. Dommage! La foultitude de personnages noie l'intrigue dans laquelle l'auteure a voulu nous entraîner, mais avec beaucoup trop de complaisance et de gentillesse. J'ai néanmoins apprécié le style d'écriture très appliqué. »
Valérie Leterrier, 45 ans, gestionnaire de contrat d’assurance, Laval
« (…) J’ai eu du mal à entrer dans l’intrigue. La mise en place des nombreux personnages est difficile. J’hésite entre une mauvaise copie d’un roman John Grisham et un feuilleton de « Dynastie » ou « Amour, Gloire et Beauté » (du moins ce que je m’en représente). C’est tout de même l’histoire de la famille Darling. Cela ne s’invente pas! La mère organise un gala de charité « New York pour les animaux » et une de leurs filles a créé sa société de vêtements pour chiens. Tout est rose bonbon dans une ambiance grise de crise économique ! (…) »
Pascal Poulain, 60 ans, commercial retraité, Andernos-les-Bains
« (…) L’intrigue nous conduit dans les méandres de la finance et du crash boursier de 2008 avec son lot de magouilles et de trahison pour sauver ce qui reste d’un monde déliquescent. Sujet rebattu et déjà maintes fois exploré depuis « Le Bûcher des vanités » en passant par les livres de Ken Follet ou les films traitant de ce sujet. Son appartenance à ce milieu, ne fait pas de l’auteur un juge impartial ou apportant un œil nouveau et acéré de cette période où tout a déjà été écrit ou filmé. Dommage ! »
Evelyne Nottin, Paris
« (…) Ce roman a tout du téléfilm sans saveur. On a du mal à croire à chaque personnage. L’intrigue est entremêlée avec de constants retours en arrière, qui n’émeuvent pas. Tous les personnages sont bien trop gentils pour être crédibles comme requins de la finance. Ce roman reste un roman lambda, somme toute assez quelconque. »