Dans la peau de Sheldon Horowitz
À 82 ans, Sheldon Horowitz, veuf, horloger à la retraite et ancien marine, accepte en ronchonnant d’aller vivre chez sa petite-fille dans une ville qui a tout pour lui déplaire : Oslo. Des contrées de neige et de glace peuplées de grands blonds et au maximum d’un millier de Juifs, dont pas un seul ex-sniper, hanté par la mort de son fils, comme Sheldon.
Jamais il n’aurait imaginé que la Norvège allait lui offrir son ultime mission. Pourtant, quand sa voisine serbe est assassinée par un gang de kosovars, Sheldon se jure de protéger son garçon de 7 ans coûte que coûte. Le début d’une cavale infernale pour sauver l’enfant... et tenter de racheter ses erreurs passées. (Extrait du quatrième de couverture du roman, publié aux Escales).
L’auteur
L’Américain Derek B. Miller est le directeur de Policy Lab, un organisme international spécialisé dans la sécurité. Il est membre de l’Institut des Nations unies pour la recherche sur le désarmement, et travaille depuis quinze ans dans le domaine de la sécurité à l’international. Il a débuté sa carrière en 1994 aux Etats-Unis en tant qu’assistant sénatorial. Il a ensuite vécu en Israël et en Angleterre avant de s’installer en Norvège. C’est dans ce pays que se situe l’action de Dans la peau de Sheldon Horowitz, son premier roman.
La femme de nos vies
« Nous devions tous mourir, sauf lui. Il avait quatorze ans, il était surdoué et il détenait un secret. Moi, on me croyait attardé mental. Mais, ce matin-là, David a décidé que je vivrais à sa place. Si j’ai pu donner le change, passer pour un génie précoce et devenir le bras droit d’Einstein, c’est grâce à Ilsa Schaffner. Elle m’a tout appris : l’intelligence, l’insolence, la passion. Cette héroïne de l’ombre, c’est un monstre à vos yeux. Je viens enfin de retrouver sa trace, et il me reste quelques heures pour tenter de la réhabiliter. » (Quatrième de couverture du roman, publié chez Albin Michel).
L’auteur
Didier van Cauwelaert, 52 ans, a publié plus de vingt romans, dont Un aller simple en 1994, pour lequel il a reçu le prix Goncourt. Il sort son premier roman Vingt ans et des poussières à l’âge de 22 ans, après une dizaine de tentatives infructueuses. Ses livres abordent souvent le thème de la reconstruction de personnages en souffrance. Il se définit lui-même comme un « romancier de la reconstruction », qui tente de « faire du bien dans les moments les plus insupportables de l’existence ». Il vit à la campagne, près de Paris, où il travaille sur le bureau de Marcel Aymé, l’un de ses auteurs favoris.
Ne lâche pas ma main
« Un couple amoureux dans les eaux turquoise de l’île de La Réunion. Farniente, palmiers, soleil. Un cocktail parfait. Pourtant le rêve tourne au cauchemar. Quand Liane disparaît de l’hôtel, son mari, Martial Bellion, devient le suspect n° 1. D’autant qu’il prend la fuite avec leur fille de six ans. Barrages, hélicoptères… la course-poursuite est lancée au coeur de la population la plus métissée de la planète. Et si cette chasse à l’homme, ponctuée de cadavres, dissimulait la plus redoutable des manipulations ? » (Quatrième de couverture du roman, publié aux Presses de la Cité).
L’auteur
Michel Bussi, 48 ans, est professeur de géographie à l’université de Rouen. Il a publié sept romans policiers, qui se situent principalement en Normandie, à l’exception des deux derniers. En 2010 il sort Nymphéas noirs, un huis clos qui se situe dans le village de Giverny. Ce roman remporte de nombreuses récompenses, dont le prix des lecteurs du festival Polar de Cognac et le grand prix Gustave Flaubert des écrivains normands.