❗#Aube - Découverte de cadavre à Romilly-Sur-Seine en février 2013 : la SR de #Reims lance un nouvel appel à témoins pic.twitter.com/RNY0ONl91g— GendarmerieNationale (@Gendarmerie) 23 Avril 2014
Nouvelle tentative. Ils avaient déjà lancé un appel à témoins en mai 2013 qui n’avait rien donné. Un an après la découverte d’un cadavre à Romilly-sur-Seine, dans l’Aube, la gendarmerie de Reims lance un nouvel appel. Avec l’espoir d’élucider cette affaire sur laquelle une cellule a été détachée depuis février 2013.
Le décès remonte à 2012. A ce moment-là, les enquêteurs découvrent le corps d’une femme. Nue, emballée dans deux sacs poubelle, "elle a subi des traumatismes antemortem (avant le décès) dû soit à une chute, soit au choc d’une voiture et porte de légères traces de brûlures au thorax", annonce le lieutenant Buffet de la SR de Reims. La cinquantaine, entre 1m65 et 1m70, elle est très difficilement reconnaissable. Et pour cause, le décès remonte à plusieurs mois.
Des analyses de terre pour préciser la piste. Depuis, une information judiciaire a été ouverte, elle est toujours en cours. En vain pour l’instant puisque l’enquête piétine faute d’éléments. En mai 2013, les analyses du crâne de la victime avaient pourtant permis une reconstitution faciale et la diffusion de portraits-robots. Sans succès. Seul élément qui pourrait faire avancer les investigations, les analyses de la terre présente sur le corps de la victime lors du décès. "Ces analyses pourraient nous permettre de privilégier la piste locale", explique le lieutenant Buffet.
Recherches ADN. Les enquêteurs, qui n‘avaient pas trouvé trace de l’ADN de la victime dans le FNAEG (le fichier national où figure l’ADN des criminels et des délinquants), pourraient désormais essayer de retrouver des concordances génétiques avec un parent ou un enfant qui serait lui aussi enregistré. Un moyen, peut-être, de retrouver l’identité de l’inconnue.
Toute personne susceptible d’identifier la victime peut appeler la gendarmerie au 03 26 31 08 42.