Le fils de la victime la plus âgée du quadruple meurtre de Chevaline (Haute-Savoie), un temps soupçonné en raison de ses antécédents de violence, "était hospitalisé" quand la tuerie a eu lieu et ne peut donc être le meurtrier, a-t-on appris vendredi de source proche de l'enquête.
Cet homme "violent était hospitalisé en Grande-Bretagne quand la tuerie a eu lieu", a indiqué cette source, fermant une piste ouverte jeudi par des documents de justice à Stockholm, selon lesquelles Mme al-Allaf, tuée avec sa fille et son gendre, a été battue de longues années par son fils.