L’ombre d’un A300, comme échoué sur le tarmac de l’aéroport de Marseille. Des caméras de télévision qui filment à distante prudente. Et soudain les hommes du GIGN, tout de noir vêtus, qui surgissent dans la nuit.
Le 24 décembre 1994, à la veille de Noël, un commando du GIA algérien s’empare d’un vol Alger-Paris. Seize ans après, les images de cette prise d’otages restent gravées dans la mémoire collective.
Jacques Pradel reviendra sur cette affaire le mardi 25 mai en compagnie de Roland Montins, ancien chef de groupe au GIGN, le Groupe d´intervention de la gendarmerie nationale, et du grand reporter Jean-Michel Caradec’h.
24 décembre : dans l’A300, pris en otage à Alger, trois passagers ont été exécutés.
26 décembre : le GIGN donne l’assaut et abat les quatre terroristes.
27 décembre : les survivants retrouvent leurs proches.
- Quel souvenir gardez-vous de cette prise d’otages ?