Mégalomanie. "Il se serait pris pour Napoléon", a dévoilé un des collègues du fautif à France 3 Corse. Quand le gardien du musée Fesch d’Ajaccio s’assoit sur le fauteuil impérial pour s’amuser, il est loin de penser que ses fesses se rendraient coupables d’un crime de lèse-majesté.
Malheureusement pour lui, le cuir de cette chaise qui avait suivi l’empereur dans nombre de ses campagnes n’a pas résisté au poids de l’employé du musée. L’incident, survenu jeudi, est resté secret jusqu’à dimanche.
Au chevet du fauteuil. Depuis, une restauratrice a été dépêchée auprès du vénérable mobilier. Il devait apparaître dans le cadre de l’exposition "Napoléon au bivouac", dont l’ouverture est prévue le 13 janvier.