Appelez-les "sanglichons" ou "cochongliers". Le nom varie selon que la reproductrice est une laie ou une truie. Toujours est-il que ce croisement entre un sanglier et un cochon, malgré son interdiction, a bel et bien été pratiqué en Haute-Loire, rapporte Le Progrès.
"Ne pas compromettre la pureté génétique du sanglier". Cinq de ces animaux "au comportement douteux" ont été repérés et tués au mois de juillet, dans le département, comme l’autorise un arrêté préfectoral. Et plusieurs autres cas ont été signalés cette année. "C’est pour éviter la dégénérescence de l’espèce et ne pas compromettre la pureté génétique du sanglier", explique Gilles Fombelle, directeur de la Fédération des chasseurs de Haute-Loire. Si le phénomène reste encore anecdotique, ces derniers espèrent ne pas voir proliférer ce genre de bêtes. Fin juillet, les habitants d'un village avaient nourri l'une d'elles pendant une dizaine de jours.
Marion Calais en a parlé lundi matin dans sa revue de presse régionale :