Son intervention a sûrement été salutaire. Le 4 mars dernier, en montant à bord du vol Easyjet qui devait le mener de Genève à Copenhague, Christophe remarque qu'une clé à molette est coincée dans l’aile gauche de l'avion, pourtant prêt à décoller.
A deux doigts de la catastrophe. Le jeune homme de 25 ans décide d'en alerter l'équipage en appuyant sur le bouton d'assistance. L'outil, qui aurait pu retomber sur la piste et gêner le passage de l’avion suivant, ce qui avait d’ailleurs causé le crash du Concorde à Paris, en 2000, a finalement pu être délogé et l'accident évité.
Enquête ouverte. L'avion a finalement pu repartir une heure plus tard. Easyjet a annoncé l’ouverture d’une enquête, et d'ores et déjà informé Christophe par courriel qu'elle ne fera pas de geste commercial.