René-Georges Querry, ancien directeur de la sécurité du groupe Accor, en poste au moment de l'affaire DSK à New York, a réagi lundi matin sur Europe 1 à l'article du journaliste américain Edward Jay Esptein relançant la thèse du complot. "J'ai découvert l'existence de cette vidéo à l'occasion de la publication de cet article", a indiqué René-Georges Querry.
Justifiant le fait qu'il n'ait pas cherché à voir ces images plus tôt, René-Georges Querry a argumenté qu'il ne lui appartenait pas de "s'immiscer dans une enquête judiciaire conduite par des policiers américains à 5.000 kilomètres de Paris".
Parmi les zones d'ombres figurent le comportement de deux hommes qui se congratulent après les faits. "Rien ne dit qu'ils se sont congratulés après avoir entendu une femme dire qu'elle venait de se faire agresser sexuellement", a fait valoir René-Georges Querry. "On ne peut pas se baser sur huit secondes de gesticulation de deux personnes qui apparaissent comme ça de façon inattendue dans l'affaire", ajoute-t-il.