L'analyse ADN des prélèvements du squelette découvert vendredi en Côte d'Ivoire et qui pourrait être celui du journaliste franco-canadien Guy-André Kieffer, disparu en avril 2004 à Abidjan, pourrait être très rapide mais dépend notamment de la qualité de ces prélèvements.
Les analyses ADN, précise-t-on de source proche du dossier, pourraient être réalisées par un laboratoire spécialisé français en moins de 24 heures dès réception de ces prélèvements.
La décision sur l'urgence de ces analyses dépend des instructions qui ont été données par le juge français Patrick Ramaël, chargé de l'information judiciaire ouverte le 3 mai 2004 "enlèvement et séquestration", ajoute-t-on de même source. Ces analyses dépendent aussi de la qualité des prélèvements recueillis sur le squelette, dit-on de même source.