Cent quarante-cinq femmes ont été élues aux élections législatives algériennes tenues jeudi, à la faveur d'une loi votée en novembre 2011 sur leur représentativité au parlement, passant ainsi de 7% au sein de l'assemblée sortante à 31,39% dans la nouvelle chambre.
Les candidates aux législatives ont bénéficié d'une réforme présidentielle imposant aux partis un quota féminin de 20 à 50% des sièges sur leur liste sous peine d'être éliminés du scrutin.
Cette loi avait suscité de vives polémiques de la part de députés hommes qui la considérait injuste envers eux.