L'arrêt des réformes structurelles serait fatal à l'Europe, a affirmé mardi la chancelière allemande Angela Merkel à Berlin, soulignant qu'il fallait leur laisser le temps d'agir sur la croissance. Vantant les réformes du marché du travail menées en Allemagne, elle a estimé qu'il serait "fatal pour l'Europe d'interrompre cela juste au moment où quelques pays ont commencé à travailler dans la bonne direction". Les résultats de l'Allemagne "ont montré qu'il s'agissait du bon chemin", a-t-elle dit. "Mais elles ont besoin de temps" pour agir sur la croissance.