Paris a fait part mercredi à la Bolivie de ses "regrets", évoquant un "contretemps", après que l'avion du président Evo Morales eut été contraint d'atterrir à Vienne, faute d'avoir reçu l'autorisation de survoler le territoire de plusieurs pays européens, dont la France.
"Le ministre des affaires étrangères (Laurent Fabius) a téléphoné à son homologue bolivien pour lui faire part des regrets de la France suite au contretemps occasionné pour le président Morales par les retards dans la confirmation de l'autorisation de survol du territoire par l'avion du président", a indiqué le porte-parole du ministère, Philippe Lalliot, dans un communiqué.