Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a déclaré vendredi que l'inaptitude du Conseil de sécurité de l'ONU à mettre la pression sur le président de la Syrie Bachar al-Assad équivalait à lui octroyer "un permis de massacrer".
S'exprimant après la tuerie de Treimsa, Ban Ki-moon a poussé le Conseil de sécurité, actuellement très divisé, à "envoyer un message fort à tout le monde pour dire qu'il y aura des conséquences" si le plan de paix prôné par l'émissaire de l'ONU et de la Ligue arabe Kofi Annan n'est pas respecté.