Anders Behring Breivik, jugé pour la mort de 77 personnes l'an dernier en Norvège, a présenté ses excuses lundi pour ses victimes sans appartenance politique, en refusant de faire de même pour les proches des adolescents tués sur l'île d'Utoeya. "J'aimerais leur présenter mes profondes excuses", a dit l'extrémiste de droite, en s'adressant aux familles des passants tués ou blessés par l'explosion de la bombe qu'il avait placée de le 22 juillet 2011 près du siège du gouvernement norvégien.