Trente-et-un des 33 mineurs chiliens qui ont survécu 69 jours bloqués sous terre dans le nord du Chili entre août et octobre 2010 vont poursuivre l'Etat chilien pour négligence, considérant que les conditions de sécurité n'avaient pas été contrôlées avant l'accident.
"Nous voulons que soit reconnu ce que nous avons vécu au fond de cette mine. Nous sommes ici pour dire que les 31 souhaitent que soient reconnues toutes les souffrances que nous et nos familles avons subies", a déclaré vendredi à la presse Le chef de quart devenu logiquement chef des 33 mineurs piégés sous terre, Luis Urzua.