LES MOTS. A la veille du référendum prévu dimanche, la tension monte en Crimée et ailleurs. François Hollande a ainsi prévenu samedi que selon lui, ce référendum n'avait "aucune valeur légale" et que "tout [devait] être fait pour que nous retrouvions la voie de la négociation". Des propos tenus depuis l'Elysée, où le président français recevait le président du Conseil italien, Matteo Renzi.
Le chef de l'Etat a aussi assuré que "la France comme l'Union européenne ne reconnaîtra pas cette pseudo-consultation". Et sans "désescalade", François Hollande a promis des "sanctions" européennes contre la Russie.
INTERVIEW - Guigou : "le référendum en Crimée est absolument illégal"
ARGUMENT - Le droit des peuples à l'autodétermination s'applique-t-il en Crimée ?
L'ACTU - Manifestation "pour la paix" à Moscou