Myriam Martin, l'une des porte-parole du NPA, a assuré que la "solidarité" du parti "va d'abord à la victime" qui accuse DSK d'agression sexuelle. Même si, a-t-elle tenu à préciser, "on croit à la présomption d'innocence".
"La première chose si les faits sont avérés, c'est que ce serait une agression contre une femme" et donc "quelque chose d'extrêmement sérieux" qui "renvoie aux violences faites aux femmes", a déclaré Christine Poupin, l'autre porte-parole. Elle s'est également dite "choquée par les réactions de compassion à DSK, sa famille et ses proches. Et la femme (de ménage) alors ?", s'est-elle interrogée.