La lettre adressée mardi par l'émissaire spécial de l'ONU et de la Ligue arabe au Conseil de sécurité de l'ONU "démontre et confirme à quel point Damas bafoue ses engagements", a déclaré le chef de la diplomatie française Alain Juppé.
"Demain, au G8 (aux Etats-Unis), je soulignerai la gravité de la situation devant laquelle nous sommes placés. (...) J'insisterai sur la nécessité pour le Conseil de sécurité de tirer, le 12 avril, toutes les conséquences de cette situation et d'étudier les nouvelles mesures nécessaires pour imposer la fin des violences et un processus politique" en Syrie, a affirmé le ministre dans une déclaration écrite.