Si l'annonce par le FMI de la démission de DSK, a "quelque chose de très spectaculaire vu de France, il ne faut pas en exagérer la porté dans la mesure où le FMI est un très grande bureaucratie", a estimé jeudi sur Europe 1 l'économiste Nicolas Bouzou, directeur du cabinet Asterès.
Concernant sa succession, il estime très probable qu'une figure d'un pays émergent soit nommée venant d'Inde ou du Brésil. Si le nouveau directeur du FMI vient d'une zone en pleine croissance, cela sera sans doute "plus difficile pour la gestion de la dette européenne", a jugé l'économiste.