Tout a commencé là, devant ce monument aux morts. C'est ici que les premiers coups de feu ont retenti. Ils visaient un militaire qui gardait le monument aux morts situé à quelques encablures du Parlement. Rapidement, la police et les ambulanciers sont intervenus. Le blessé a bénéficié d'un massage cardiaque : peine perdue, puisqu'il est décédé quelques heures plus tard.
Le tireur est alors pris en chasse par la police. Il pénètre dans le Parlement où il échange des coups de feu avec les forces de l'ordre, qui bouclent le bâtiment :
Les forces spéciales venues en renfort et les officiers de police élargissent alors le périmètre de sécurité.