Des membres de l'ancien parti au pouvoir en Égypte, dissous après la révolte de janvier-février, ont demandé à pouvoir se présenter aux prochaines élections, alors que les responsables discutent d'un projet de loi qui pourrait les exclure de la vie politique pour dix ans.
"Le but de la révolution était d'amener la liberté, la dignité, la démocratie et la justice sociale, pas de promouvoir certains partis et exclure d'autres, ou de rétablir la dictature", a affirmé l'ex-ministre de la Solidarité sociale, Ali el-Messeilhi.