La chef de la diplomatie européenne Catherine Ashton a condamné à son tour mardi l'expropriation partielle de la compagnie pétrolière YPF contrôlée par l'Espagnol Repsol en estimant que cela envoyait "un très mauvais signal" pour les investissements étrangers dans le pays.
Cette décision "est une source de profonde inquiétude", a-t-elle déclaré devant le Parlement européen. Cela adresse "un très mauvais signal aux investisseurs internationaux et pourrait gravement nuire" à la confiance dans le pays, a-t-elle ajouté, en prévenant que l'UE étudiait toutes les options pour répondre à Buenos Aires.